𝐏𝐚𝐫𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞́𝐟𝐢𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞́ 𝐩𝐮...
Lire plusPassation de service du coordonnateur sortant Dr. Doudou SENE avec le nouveau coordonnateur Dr Aliou THIONGANE...
Lire plusPour l’année 2025, le Sénégal et la Gambie vont de nouveau organiser une campagne synchronisée de distri...
Lire plusLe paludisme demeure un défi de santé publique majeur au Sénégal, et notre détermination à le combattre n’a jamais été aussi forte. À travers notre programme, nous nous engageons à réduire significativement la morbidité et la mortalité liées à cette maladie, en mettant l’accent sur la prévention, le dépistage précoce et un traitement efficace.
Pour atteindre ces objectifs ambitieux, nous œuvrons en étroite collaboration avec les communautés locales, les professionnels de santé et nos partenaires. Nous sommes convaincus que cette synergie est la clé pour transformer l’espoir en réalité.
Je vous invite à découvrir nos actions et initiatives présentées sur ce site et à vous joindre à nous dans ce combat essentiel contre le paludisme, pour un avenir en meilleure santé.
Professeur Aliou Thiongane, Coordonnateur du PNLP
Le paludisme est une maladie à transmission vectorielle qui est liée en grande partie à la variabilité du climat. Le parasite est transmis à l’homme par la piqûre de moustiques infectés. Ces moustiques, « vecteurs » du paludisme, appartiennent tous au genre Anopheles.
Les manifestations cliniques du paludisme sont très diverses. Le paludisme débute par une fièvre 8 à 30 jours après l’infection, qui peut s’accompagner – ou non – de maux de tête, de douleurs musculaires, d’un affaiblissement, de vomissements, de diarrhées. Des cycles typiques alternant fièvre, tremblements avec sueurs froides et transpiration intense, peuvent alors survenir : c’est » l’accès palustre« . La périodicité de ces cycles dépend de l’espèce de parasite en cause, et coïncide avec la multiplication des parasites et l’éclatement des globules rouges, qui conduit également à l’anémie. Le paludisme engendré par Plasmodium falciparum peut être fatal s’il n’est pas traité. Dans certains cas, les globules rouges infectés peuvent obstruer les vaisseaux sanguins irriguant le cerveau : c’est le neuropaludisme, souvent mortel.
Abonnez-vous à notre newsletter pour rester informé de nos nouveautés et événements.
Vous avez une question ou besoin d’aide ? Écrivez-nous, nous sommes là pour vous répondre avec plaisir !